samedi 11 juin 2016

Ce que je sais (on me l’a dit) c’est qu’il y a toujours des couches en dessous.

C’est-à-dire qu’il n’y a pas de couche qui soit en dessous de toutes les autres.

C’est-à-dire qu’il y a des couches comme chacun sait qui sont les unes sur ou sous les autres. Et nous n’avons accès qu’a quelques-unes de ces couches : celles sur lesquelles nous sommes, celles sous lesquelles nous sommes, et celles qui sont, comme nous, sur celles sur et sous celles sous lesquelles nous sommes. Mais les outils dont la science dispose et certains raisonnements nous permettent d’avoir accès à des couches bien en dessous et bien au-dessus de nous.
Or, comme je disais. On sait désormais grâce à ces outils de la science et aux raisonnements qu’une couche qui serait la couche en dessous de tout ne peut pas exister. C'est-à-dire que chaque couche a une sous-couche.

En revanche, pour ce qui est d’une couche au-dessus de toutes les autres, comme quelque chose qui aurait tout en dessous de sois, on ne peut pas savoir. Rien parmi les outils dont nous disposons et les raisonnements ne nous permet ni d’affirmer que, celle qu’on appelle communément (et non sans euphémisme) "la grande couche", existe ni qu'elle n’existe pas.

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